Èvénements

sexta-feira

Travail pour l´expo sur les "Elèctricos"

Avant de partir pour Berlin le 5 Novembre. l´inauguration des 20 ans de la chute du mur commence le 6 novembre , je prépare une Exposition en décembre, à la gallérie FABULA URBIS

Rua de Augusto Rosa, 27

1100-058 Lisboa

tel: 351 21 888 50 32

fabula-urbis@fabula-urbis.pt


œuvre de Kim prisu

L´atelier le 24 octobre 2009 (KIM PRISU)

terça-feira

Workshop de peinture mural



Workshop de peinture mural orienté par moi ( Kim Prisu) avec un groupe de jeunes. le mur de la cour du Théâtre Municipal de la ville de Guarda portugal - 2, 3 e 4 de Octobre 2009.

sábado

2009 kim prisu BERLIN

2009 kim prisu BERLIN

terça-feira

http://www.eastsidegallery-berlin.com/







Oeuvre de Kim Prisu sur le mur de la east side gallery BERLIN



Oeuvre de Kim Prisu sur le mur de la east side gallery BERLIN


La East Side Gallery, c’est le nom que porte ce dernier tronçon de mur encore debout. Il mesure 1300m de long, se trouvait à Berlin Est et longe la Spree, la rivière qui constituait à l’époque du mur, une frontière naturelle 9 fois meurtrière au cœur de la ville.

Juste après la chute du mur, 118 artistes du monde entier sont venus s’exprimer sur ce support unique. Ils ont créé des fresques devenues emblématiques : la Trabant qui traverse le mur… le baiser entre Honecker et Brejnev peint par un artiste russe d’après la célèbre photo de Régis Bossu.

Mais au fil des années, les graffitis, l’humidité de la rivière et surtout la convoitise immobilière ont menacé ce qui reste du mur…

Autant vous dire qu’il faut un paquet d’énergie à l’association qui se bat pour préserver l’East Side Gallery !
C’est elle qui a mis en place la restauration des fresques.

90% des 118 artistes initiaux ont répondu présents… Les autres sont morts, peu désireux de se copier eux-mêmes ou trop gourmands !

Mais 90 % sont restés fidèles à leur engagement envers ce support unique, beaucoup considère cela comme leur devoir de mémoire…

Pour la petite histoire chaque artiste reçoit 3000 € de défraiement, financés par la loterie allemande qui redistribue ainsi les gains non réclamés par les gagnants allemands… Chaque artiste est un peu un gagnant du loto… à la condition qu’ils reproduisent leur fresque à l’identique, quelque fois d’après photo…

C’est une vraie bagarre ! D’abord parce qu’il y a un projet immobilier baptisé "Média Spree" qui vise à faire des berges de la rivière un nouveau centre médiatique pour Berlin… Vous imaginez la valeur que prennent ces terrains…
Surtout que certaines portions du mur sont sur des terrains privés.
Thierry Noir n’est d’ailleurs pas sûr de pouvoir restaurer l’intégralité de ses fresques pour cette raison…

C’est bien dommage, il paraît évident que cette immensité de 1300m, la plus grande galerie d’art en plein air au monde, visitées par plus de 700 000 personnes chaque années remplit pleinement son rôle de mémoire qui paraît bien utile alors que la "ligne verte" qui divise Nicosie la capitale chypriote entre les parties turque et grecque depuis 1974 connait seulement ses premières failles depuis l’année dernière.
Sans oublier le mur de Tijuana au Mexique qui s’enfonce jusque dans l’océan Pacifique… comme si on pouvait diviser les mers…

Les artistes que nous avons rencontrés ont chacun une expérience et une histoire propre liées au mur.

Thierry Noir est arrivé à Berlin en 82. Installé à quelques mètres du rideau de fer, il reconnait que c’est cette immensité de béton qui l’a fait peintre. Ses bonshommes aux yeux écarquillés sur le monde sont bien connus des berlinois.
Cet artiste français fait partie de l’association de la East Side Gallery depuis sa création en septembre 90.

Hervé Morlay fait de la dentelle, il passe des heures à préparer les pochoirs grâce auxquels il imprime son univers radieux sur les murs des villes. En 90, il ne peut résister à l’appel de la East Side Gallery qui lui propose "the" support pour son art. Il loue une camionnette et fonce avec son acolyte l’artiste Kim Prisu, dont la fresque jouxte la sienne.




Vous trouverez toutes les infos sur les artistes, le mur, sa restauration et les artistes qui y contribuent sur www.eastsidegallery.com

sábado

Berlin 1990\2009 "East Side Gallery"

EAST SIDE GALLERY BERLIN
kim prisu en 1990 mur de berlin

J`ai été invité a BERLIN , 19 année après avoir peint 9 mètre de mur du coté oriental en 1990, East Side Gallery
Fin mai et début juin, je vais a Berlin pour restaurer ce bout de mur.



Mon ami VR (Hervé Morlay) ma envoyer un film qui relate cet évènement.

sexta-feira

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5h-SA53NYK7l2d1K_hIf_rC6B43lw

Premiers coups de pinceaux pour rénover la fresque du Mur de Berlin

BERLIN (AFP) — 20 ans après l'ouverture du Mur de Berlin, les premiers artistes invités à restaurer la fresque qui orne une longue section de la construction ont commencé mardi à repeindre leurs oeuvres.

"Les quatre premiers artistes sont arrivés hier (lundi)", a indiqué à l'AFP Kani Alavi, directeur de l'association des artistes de l'East Side Gallery.

"Ils vont peindre les mêmes motifs qu'en 1990 et c'est pour nous une très grande victoire", s'est réjoui M. Alavi. "Sinon, nous n'aurions peut-être pas eu la chance de conserver cette authenticité."

Décorée en 1990 par 118 artistes issus d'une vingtaine de pays, cette fresque appelée "East Side Gallery" s'étale sur 1,3 km le long de la rivière Spree.

Cette succession de peintures est présentée comme la plus grande galerie de plein air au monde. Elle est située sur la face Est du "Mur de protection antifasciste", vierge de toute inscription avant l'ouverture des frontières entre la RFA et la RDA.

Selon M. Alavi, 86 peintres ont déjà répondu positivement à l'invitation de l'association. Chaque artiste pourra rester entre deux semaines et un mois sur place pour repeindre son oeuvre. Les nouvelles peintures doivent être terminées pour le 7 novembre, soit deux jours avant le 20e anniversaire de la chute du Mur.

"Je suis excitée et me réjouis surtout que ce mur puisse être restauré en tant que monument", a expliqué Rose-Marie Schinzler, auteur de deux peintures et qui habitait Berlin-Ouest en 1990.

"Le dernier état du lieu était catastrophique", témoigne de son côté Gerhard Lahr, artiste originaire de Berlin-Est. "Il fallait faire quelque chose car ce mur s'est transformé en une véritable attraction pour les touristes."

D'autres refusent toujours de venir à Berlin restaurer leurs oeuvres s'ils ne reçoivent pas 15.000 euros d'honoraires au lieu des 3.000 prévus. "Nous voulons tout simplement une transparence complète de l'argent accordé aux artistes", a revendiqué à l'AFP Bodo Sperling, responsable du collectif qui a lancé la fronde et qui réunit, selon lui, une dizaine d'artistes.


http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5h-SA53NYK7l2d1K_hIf_rC6B43lw

Berlin Wall gallery gets anniversary facelift

BERLIN (AFP) — Restoration work began Tuesday on murals painted on the longest remaining stretch of the Berlin Wall, 20 years after the Cold War barrier fell, organisers said.

Completed in 1990, the 1.3-kilometre-long (0.8-mile-long) East Side Gallery is covered with paintings by 118 artists from around the world, inspired by the tumultuous emotions that marked the end of Germany's division.

But the concrete slabs running along the Spree River, which are a tourist magnet, have crumbled under the onslaught of weather, pollution, graffiti artists and plain neglect.

One of the most famous works captures Soviet leader Leonid Brezhnev and the long-time leader of East Germany's communist regime Eric Honecker sharing a passionate kiss.

Kani Alavi, the head of the artists' association at the East Side Gallery, which calls itself the world's largest open-air art gallery, said four of the original artists had set to work and another 82 had pledged to participate.

"They will paint the same motifs as they did in 1990 and that is a major victory for us," he said. "If they did not, we would probably not have the chance to preserve its authenticity."

The retouching work is to be wrapped up in November, in time for the anniversary celebrations of communist East Germany's decision to open the border on November 9, 1989 amid a peaceful popular uprising.

"I am excited and am particularly happy that the Wall will be restored like a historical monument," said Rose-Marie Schinzler, who painted two of the works.

But some artists have refused to join in the effort and are demanding 15,000 euros (19,900 dollars) in compensation instead of the 3,000 euros on offer, arguing that they have not received a fair share of the Gallery's earnings over the years.

"We simply want total financial transparency for the artists," Bodo Sperling, who said he leads a group of about a dozen artists boycotting the restoration, told AFP.

The despised Wall was erected in 1961 by the communist regime of East Germany to stop a mass exodus of its citizens.

Of the 155 kilometres of grey concrete that cut off West Berlin from its hinterland for 28 years and made East Germans prisoners of their own country, only about three kilometres in total is still standing.

It was chiseled apart by Germans from East and West euphoric over the opening of the border in 1989 and large slabs were sold off to foreign buyers.

Two decades on, visitors to the city centre often search in vain for the Wall and can rarely differentiate between the former East and West, both of which have seen a dramatic construction boom since the barrier was torn down.